Tour d'horizon : pop intimiste française et electro-pop cinématographique.
The Aikiu
A l’origine, The Aikiu ne sont que deux. Autour de structures souvent pop, ils travaillent avec minutie à développer un raffinement qui s’exprime dans la recherche de textures sonores et d'arrangements sophistiqués. Rapidement rejoints par deux autres membres, The Aikiu se développe autour d'une écriture qui se veut cinématographique, un univers fantastique aux visuels forts. Guillaume Brière des Shoes a su retranscrire dans l'arrangement de l'album les diverses influences musicales du groupe : les années 60, la new et la no wave, une certaine pop anglaise, fleurie dans ses guitares, synthétique dans ses claviers... Remarqués cet été au Peacock Festival, ils ont récemment collaboré avec la légende féministe anciennement figure de proue du groupe Le Tigre, JD Samson sur Win.
ALB
Depuis Mange Disque, premier album qui posait brillamment les bases d’un univers musical qui invoquait à la fois le meilleur de la pop de chambre à la française, des références de l’arrangement luxuriant (Love, les Beach Boys), et la musique de jeu vidéo, on attendait la suite des aventures de Clément Daquin, ou ALB. C’est chose faite avec la livraison d’un EP 4 titres I Beg for a Summer qui précède un second album à venir en 2013.
Au sein de la prolifique scène rémoise, Clément partage le studio de Yuksek qu’il accompagne sur scène, partage un batteur avec The Shoes, et donne rendez-vous dans les mêmes bistrots que les Bewitched Hands.
Peter Peter
Montréalais d'origine, Peter Peter signe une pop brute mais élégante évoquant à la fois la new wave, le post punk en puisant dans les tendances anglo saxonnes du moment.