Cléa Vincent

Cléa Vincent
© Photo : Michelle Blades / Artwork : Lou Benesch

A UFO in the French scene, Cléa Vincent makes musical splits from France Gall to Thelonious Monk.

Ses deux premiers EP, Retiens mon désir et Château Perdu, l’ont révélée au grand public grâce à sa composition unique, son jeu de piano au wurlitzer et son chant si particulier et addictif.

En 2015, elle entre en studio pour son premier album : avec une assise rhytmique encore plus puissante, et  une écriture dans un français magique, poétique et mature, l’album Retiens mon désir mêle electro-pop, soul et new-wave groovy, avec une touche de modernité apportée par le travail sonore de Raphaël Léger (batteur de Tahiti 80) et des ingénieurs du son Bertrand Fresel et Marius Duflot.

Entre illuminations pop et folie douce, on sent dans cet album l’influence grandissante d’Ariel Pink et des musiciens/compositeurs  d’outre-Atlantique.

LE MONDE
« Elle parle comme elle chante, d’une belle voix grave, qu’une gaieté tenance fait fréquemment crépiter. »

TSUGI
« Son écriture est belle et unique, crachant les mots comme Dick Annegarn avec la naïveté d’une France Gall, elle a ce «je ne sais quoi» qui vous charme au premier regard. En live elle débarque comme un ovni avec son phrasé particulier. Elle vous saisit et vous émeut au point que vous vous surprenez à chanter ses mélodies des jours et des jours après les avoir entendues. »