L’artiste Stéphane Privat explore de nouvelles façons de maîtriser la lumière. Et si les enfants apprenaient le vidéo mapping ?
Dans les mystères du Digitocène comme dans ceux de la nature, les sources de lumière sont rarement statiques… Que l’on parle de la course du soleil, de la danse des flammes, ou de la frappe d’un éclair, il est toujours question de mouvement. La vitesse de la lumière est si rapide qu'elle en devient imperceptible. Depuis la découverte du feu jusqu’à la domestication de l'électricité, les êtres humains ont toujours cherché à maîtriser la lumière... Mais comment faire ? L’artiste vidéaste et performeur Stéphane Privat, dans le cadre de la programmation associée à l’exposition Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière - Olivier Ratsi, propose un atelier pour construire une installation en volume et s'initier, entre autres, au mapping LED et vidéo. Une invitation à envisager la lumière autrement, dans les infinités qu’il suffit parfois d’inventer.
Crédit photo : Jerôme Osiel.