Amarillo apporte son soleil en concert, pour une séance de psycho surf pop.
Amarillo, c’est inqualifiable. Ou alors par des images, des couleurs, à commencer par celle du nom. Comme la musique était la B.O. d’un western improbable dans lequel David Bowie galoperait devant la caméra de Sergio Leone sur fond de grands rochers aux couleurs psychédéliques. Ou peut-être n’est ce qu’une partie de dames chinoises entre Damon Albarn et Hokusai. C’est aussi une histoire de famille, une histoire de traversées, entre Amérique du Sud et Vieux Continent, de jeux d’ombres et de lumière : les morceaux sont solaires, mais peuvent aussi donner envie par un beau jour d’hiver, de manger une glace, car pour Amarillo, ce qui est important finalement c’est l’inachevé, ce qui est à venir, ce qui est à construire...