[REPORT] Joy Crookes

Première partie : Rasharn Powell

[REPORT] Joy Crookes

Joy Crookes est une véritable star en devenir : autrice, compositrice, musicienne et interprète, nommée aux Brit Awards, elle défie les genres et sa voix intemporelle rappelle une époque révolue, tout en abordant des sujets bien actuels. Elle vient défendre son premier album dans la Grande salle de la Gaîté Lyrique !

Artiste londonienne aux multiples facettes, Joy Crookes puise son inspiration dans un riche mélange d'influences et dans ses origines banglandaises et irlandaises. Son premier album studio, Skin, est une déclaration d'identité, et elle présente ce qui fait d'elle Joy Crookes. Mais c’est aussi l’examen des relations qui l'ont façonnée.

Sur Skin, Joy montre qu'elle n'est pas seulement une artiste à "singles" mais aussi qu’elle est capable de faire une œuvre complète. Elle y aborde une large palette de thèmes : l'amour de la famille, les traumatismes générationnels, les ruptures, la politique, tout en rendant hommage à ceux qui lui ont enseigné de précieuses leçon de vie. Elle l’a enregistré dans le mythique studio Abbey Road, s’inspirant aussi bien d’Ella Fitzgerald et de Nina Simone, que de Solange, D’Angelo et des groupes de rock indé qu’elle écoutait plus jeune.

Une co-réalisation Öctöpus & La Gaîté Lyrique.

 

Première partie : Rasharn Powell