Un rendez-vous pour réunir des acteurs engagés dans le développement des communs, en particulier des communs de la connaissance. L’occasion de mieux comprendre cette notion, d’identifier les raisons de sa montée en visibilité et de comprendre comment elle entre en résonance avec les valeurs de l’économie sociale et solidaire.
Le partage des connaissances participe d’un enrichissement collectif : plus les connaissances circulent, plus la société est créative. Wikipédia, les MOOC, les logiciels libres, l’open data, le labyrinthe infini des connexions, ouvrent des perspectives pour transformer notre société, notre rapport à la propriété et nos modes d’organisation collectifs.
Pourtant, les communs de la connaissance, comme les communs écologiques, peuvent être menacés de destruction ou d’enclosure. Les brevets sur le vivant, la propriété intellectuelle ou l’exploitation des mégadonnées (big data) remettent en question le modèle économique des stars de la capitalisation boursière.
Nous savons que la transition chaotique que nous traversons nous mène vers une économie de la connaissance. Mais quelles options avons-nous pour en faire une économie de partage plutôt qu’une une économie d’accumulation ? Ces questions concernent aussi les associations, qui se définissent précisément par la mise en commun de connaissances et d’activités dans un but autre que le partage de bénéfices.
La prochaine rencontre Fond’Après réunira des acteurs engagés dans le développement des communs, en particulier des communs de la connaissance. L’occasion de mieux comprendre cette notion, d’identifier les raisons de sa montée en visibilité et de comprendre comment elle entre en résonance avec les valeurs de l’économie sociale et solidaire.