Longtemps figure de proue au cabaret de Madame Arthur, il a l’exubérance d’une rock star et la pudeur d’un poète. À 30 ans, Lucky Love a déjà vécu mille vies, dont ses chansons se font l'écho. La promesse d’une œuvre musicale dense et hantée par l’esprit d’un James Blake, d’un Antony and the Johnsons ou plus près de nous d'un Christophe puisque ses textes sont en anglais et en français.
La production musicale, audacieuse, a été confiée à un quatuor inédit réunissant le meilleur de la chanson, du rap et de l'electro: Jérémy Châtelain, Prinzly, Paco Del Rosso et Nömak. C'est là, la force de Lucky Love: rassembler les êtres et les talents que rien ne prédestinait à se rencontrer. Un artiste lumineux, qui irradie quand il joue et qui électrise quand il chante.
Mais aussi un artiste engagé : "Au nom de toutes les personnes qui, comme moi, ont souffert d’un manque de représentation, c’est un doigt d’honneur au politiquement correct ou à la norme. C’est aussi une façon de devenir l’exemple que je n’ai pas eu en grandissant et, ça, c’est un cadeau merveilleux".
