Le Missing Link Show c'est une revue psychédélique avec de la danse, de la musique électronique avec les artistes Jason Forrest et Jean Nipon, des projections et bien sûr des créatures !
The Missing Link Show : revue psychédélique
Le projet Missing Link Show enquête à travers une installation vidéo sur le mystère visuel du Yéti, Sasquatch ou abominable homme des neiges et sa valeur iconique d'espèce entre l'animal et l'humain, la science et la fiction, la nature et la culture.
C'est le thème d'un spectacle conçu comme un opéra-rock sur le sujet de la lutte des espèces pour se fondre en unique tribu fonctionnelle.
Jason Forrest
Producteur de musique electronique, Jason Forrest dit – Donna Summer – est renommé pour ses titres mélant musique electronique expérimentale et rock and roll agacé. Principalement produits par ordinateur, ses titres sont construits par l'agencement de sons provenant de titres d'artistes tels que Laurie Anderson , The Who , Supertramp, Steely Dan, Joe Jackson, Elton John, Creedence Clearwater Revival et Pat Benatar.
En 2005, sa video "Steppin Off", (dirigée par Jon Watts) est nommée clip de l'année par le magazine RES.
L'année suivante, "War Photographer" (dirigée par Joel Trussell) fait partie du classement des 5 meilleures videos de 2006 donné par le célébre blog Pitchfork.
Publié sur de nombreux labels du monde entier : Irritant records (UK), Omeko (JP), MeWe le Disque (BE), Mirex (DE), Broklyn Beats (USA), Hoss (USA)... son travail est, au delà de la composition, un véritable concept artistique centré sur la culture populaire à travers l'appropriation du travail de l'autre.
Jean Nipon
Piliers de la scène club parisienne, têtu, peu discipliné et incorrigible, Jean Nipon a débuté comme batteur dans différents groupes de Hardcore avant de se décider vers 1997 à jouer les disques des autres pour se faire un peu mieux accepter des humains.
Tour à tour graphiste pour Coca Cola, disquaire au shop Katapult ou pro du remix (TTC, Ark, Cosmo Vitelli, Lesbians On Ecstasy, Adam Kesher, David Rubato...), il enchaine par la suite les plus gros festivals d'Europe (Printemps de Bourges, Eurockéennes de Belfort, Transmusicales de Rennes, Vieilles Charrues, Sonar, MEG Montreal...).
Résident de l'emblématique « Paris Paris », où il a, chaque mois pendant 3 ans, donné des sets-marathon de 7 heures durant lesquels il a partagé équitablement son amour entre Prince et Minor Threat, Aphex Twin et les Beastie Boys, Dinosaur Jr et Lio, Pink Floyd et Shellac, My Bloody Valentine et KRS-One...
Il est aujourd'hui membre à part entière de la famille Institubes (label indépendant de musique hip hop, pop et électronique), indispensable de par sa culture du mainstream et de l'underground, de l'évident et de l'improbable.
